Au Cameroun, Me Lydienne Yen Eyoum, accusée de détournements de fonds publics, est en prison depuis quatre ans et demi, alors que le code pénal prévoit une détention provisoire maximale de 18 mois. Les avocats de cette Française, qui estiment que toute la procédure est illégale, ont donc décidé de changer de méthode en interpellant les Nations unies, précisément le groupe de travail sur la détention arbitraire – groupe qui a déjà établi un rapport sur la détention de Michel Thierry Atangana.

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