Lundi 12 septembre, le ministère public a estimé que l’activiste d’Act Up-Paris Marc-Antoine Bartoli ne pouvait être reconnu coupable du délit de « diffamation publique ». L’élue PCF Hélène Bidard avait déposé plainte contre lui suite à une série de tweets publiés en 2020. Le jugement sera rendu le 4 novembre.

Mis en examen en 2021 pour « diffamation publique » après la publication de tweets visant l’élue communiste parisienne Hélène Bidard, l’ancien président de l’association Act Up-Paris, Marc-Antoine Bartoli, a été entendu ce lundi 12 septembre devant la 17e chambre du tribunal de grande instance de Paris, spécialisée dans les affaires de presse. Le ministère public a requis le même jour la relaxe de l’activiste au nom de la liberté d’expression.

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